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Share Name | Share Symbol | Market | Type | Share ISIN | Share Description |
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Reckitt Benckiser Group Plc | LSE:RB. | London | Ordinary Share | GB00B24CGK77 | ORD 10P |
Price Change | % Change | Share Price | Bid Price | Offer Price | High Price | Low Price | Open Price | Shares Traded | Last Trade | |
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0.00 | 0.00% | 6,498.00 | 6,502.00 | 6,506.00 | 0.00 | 01:00:00 |
Industry Sector | Turnover | Profit | EPS - Basic | PE Ratio | Market Cap |
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Aaron Back et Carol Ryan,
The Wall Street Journal
NEW YORK/LONDRES (Agefi-Dow Jones)--Procter & Gamble a pris une longueur d'avance sur ses concurrents dans le domaine des produits ménagers de base. Rien ne garantit que ce décalage perdure. Dans ce secteur d'activité, la vigilance constante est le prix du succès.
Le fabricant du détergent Tide et des essuie-tout Bounty a annoncé mardi que ses ventes organiques, qui excluent les variations de change et de portefeuille, avaient augmenté de 7% au cours du trimestre achevé à la fin septembre, par rapport à la période correspondante de l'année précédente.
Le même jour, Kimberly-Clark, le fabricant des Kleenex et des Huggies, a enregistré une respectable croissance organique de 7,05% pour le même trimestre. Mais Reckitt Benckiser, le fabricant britannique du nettoyant Lysol et de la lessive Woolite, a enregistré une décevante croissance organique de seulement 1,6%. Fait marquant, les revenus des marques de produits de santé du groupe, y compris le sirop contre la toux Mucinex et les préservatifs Durex, ont chuté de 12% sur le marché nord-américain au cours du trimestre.
L'action P&G a progressé de 2,6% mardi, tandis que celle de Reckitt a reculé de 0,7%. Kimberly-Clark, bien qu'affichant des chiffres décents, a vu son action chuter de 7%, le groupe ayant averti que les conditions économiques mondiales laissent présager un ralentissement de la croissance. Son directeur financier a également prévenu qu'il serait "prudent" d'anticiper une concurrence plus intense sur les prix l'an prochain.
Au cours d'une conférence téléphonique, Jon Moeller, le directeur financier de P&G, a jugé que la croissance des ventes de l'entreprise récompensait ses investissements passés dans la qualité des produits, dans leurs emballages, le marketing et l'efficience en matière de distribution. Pendant ce temps, le nouveau directeur général de Reckitt, un récent transfuge de Pepsi, a étrillé la direction précédente pour ne pas avoir suffisamment investi dans certains de ces domaines.
Les déboires de Reckitt sont en partie liés à l'acquisition de Mead Johnson en 2017 pour 17 milliards de dollars. Cette opération a diversifié les activités du groupe dans le secteur des aliments pour bébés - dans lequel il n'avait aucune expérience - et présenté de sérieux défis en matière d'intégration.
P&G a également procédé à des opérations de croissance externe, mais à une plus petite échelle. L'an dernier, le groupe a fait l'acquisition d'une gamme de suppléments de santé de la société allemande Merck pour 4 milliards de dollars. Il a aussi élagué son portefeuille de marques pour se concentrer sur des produits plus haut de gamme. Par exemple, en 2016, P&G a vendu des marques de produits de beauté, dont Clairol, au fabricant de cosmétiques Coty pour 12 milliards de dollars. Actuellement en difficulté, Coty cherche à se séparer de plusieurs de ces mêmes marques...
Certaines des marques de beauté haut de gamme que P&G a conservées, dont Olay et SK-II, sont en tête de ses ventes en Chine et au Japon. En conséquence, le segment Beauté de P&G a réalisé la meilleure performance du groupe au cours du trimestre achevé en septembre, affichant une croissance organique de 10% par rapport à l'année précédente.
Voilà quelques années, les trois groupes de produits ménagers se négociaient à des niveaux de valorisation similaires. Aujourd'hui, P&G est valorisé à 25 fois les bénéfices attendus, contre 18 fois pour Kimberly-Clark et 17 fois pour Reckitt. Pour justifier une prime aussi élevée, P&G ne pourra demeurer statique.
Comme l'a remarqué Jon Moeller, des investissements supplémentaires seront nécessaires pour demeurer en tête de peloton.
-Aaron Back et Carol Ryan, The Wall Street Journal
(Version française Eric Chalmet) ed: VLV
Agefi-Dow Jones The financial newswire
(END) Dow Jones Newswires
October 23, 2019 08:00 ET (12:00 GMT)
1 Year Reckitt Benckiser Chart |
1 Month Reckitt Benckiser Chart |
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