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Lloyds Banking Group Plc LSE:LLOY London Ordinary Share GB0008706128 ORD 10P
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Industry Sector Turnover Profit EPS - Basic PE Ratio Market Cap
Commercial Banks, Nec 23.74B 5.46B 0.0859 5.92 32.33B

En 2020, les banques européennes n'échapperont pas à leurs vieux soucis - Plus Europe

08/01/2020 9:34am

Dow Jones News


Lloyds Banking (LSE:LLOY)
Historical Stock Chart


From Apr 2019 to Apr 2024

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Rochelle Toplensky,



The Wall Street Journal



LONDRES (Agefi-Dow Jones)--Si chaque nouvelle année, à quelques exceptions près, porte son lot de promesses pour les mois à venir, rien de bien enthousiasmant ne s'annonce pour les actionnaires des banques européennes en 2020.



L'année 2019 s'était ouverte sur une perspective de hausse des taux d'intérêt et de croissance des bénéfices. Cet espoir avait été brisé en quelques semaines, balayé par des taux d'intérêt ultra-bas, une croissance économique anémique, un durcissement réglementaire, une montée des tensions commerciales et la concurrence accrue de riches homologues américaines. Les banques britanniques ont en outre payé le prix des incertitudes liées au Brexit, tandis que les manifestations pro-démocratie à Hong Kong ont frappé de plein fouet HSBC et Standard Chartered, dont l'activité est en grande partie tournée vers l'Asie.



Si l'indice des valeurs bancaires européennes a terminé 2019 en hausse de 8%, cette progression est à mettre en regard avec celle de 23% enregistrée par l'indice élargi European Stoxx 600. HSBC et Deutsche Bank, qui ont récemment entrepris de vastes processus de restructuration, ont cédé du terrain. D'autres grandes banques européennes ont amélioré leurs ratios de fonds propres et leur valorisation, mais la plupart des titres continuent de s'échanger en deçà de leur valeur nette comptable.



Les revenus ne devraient pas augmenter sensiblement. La croissance économique dans la région s'annonce apathique, bien que les tensions commerciales se soient légèrement atténuées. Les taux d'intérêt européens ne devraient en revanche pas augmenter, mais pourraient au moins avoir atteint leur niveau plancher. Quelques banques ont commencé à appliquer des frais sur les dépôts de liquidités à partir d'un certain seuil, réduisant ainsi l'impact des taux d'intérêt négatifs.



Réductions de coûts en perspective



Les réductions de coûts pourraient se poursuivre pour soutenir les bénéfices. Les ratios coûts/revenus restent élevés par rapport à ceux des grandes banques américaines. La poursuite des processus de restructuration de Deutsche Bank et HSBC sont les bienvenus, mais doivent encore porter leurs fruits. Bien d'autres banques, comme UBS, Credit Suisse et Barclays, ayant déjà procédé à un recentrage de leurs activités, toute réduction de coûts supplémentaire impliquera des choix difficiles.



Les banques doivent encore investir dans de nouvelles technologies pour moderniser leurs dispositifs actuels et renforcer leur offre de services numériques pour répondre aux attentes croissantes des consommateurs. Et si les ratios de fonds propres sont sains, l'Autorité bancaire européenne (EBA) a estimé l'été dernier que pour respecter les nouvelles règles prudentielles du Comité de Bâle, les grands établissements de la région devront trouver 134 milliards d'euros supplémentaires entre 2022 et 2027. Ce chiffre reste théorique tant que les modalités de l'accord ne sont pas finalisées, mais le renforcement des exigences de fonds propres est une forte probabilité.



Certaines banques introniseront de nouveaux dirigeants, qui chercheront probablement à imposer leur stratégie. HSBC nommera un nouveau directeur général cette année, et bon nombre d'analystes s'attendent à des remaniements dans les hautes sphères de Lloyds Banking Group et UBS.



Les incertitudes qui entourent le Brexit continueront à peser sur les géants bancaires britanniques : Barclays, Lloyds et Royal Bank of Scotland. Leurs titres, tout comme la livre sterling, n'échapperont pas à un vent de volatilité en 2020, le Premier ministre Boris Johnson s'étant engagé à conclure un nouvel accord commercial avec l'Union européenne avant la fin de l'année, une échéance particulièrement serrée.



Les banques européennes engagées dans la transition énergétique, comme BNP Paribas, pourraient bénéficier du "green deal" récemment présenté par la Commission européenne. En revanche, la probabilité d'un réel progrès en faveur d'une union bancaire ou d'une union des marchés de capitaux en Europe susceptible d'entraîner une consolidation transfrontalière semble très mince.



Les banques européennes ont surmonté la grisaille de 2019, de façon parfois admirable. Et c'est à peu près tout ce que peuvent espérer les investisseurs pour 2020.



-Rochelle Toplensky, The Wall Street Journal



(Version française Emilie Palvadeau) ed : ECH



Agefi-Dow Jones The financial newswire



(END) Dow Jones Newswires



January 08, 2020 04:14 ET (09:14 GMT)




Copyright (c) 2020 L'AGEFI SA

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